Minimalisme

Nombre de managers d’équipe se retrouvent submergés de travail parce qu’ils veulent mettre tout en place pour réussir un projet. Pourtant, le succès qu’ils cherchent éperdument peut s’obtenir sans obligatoirement avoir la tête sous l’eau. Pour cela, il suffit de savoir déléguer efficacement. Mais avant d’aborder les modalités de délégation, vous trouverez d’abord les avantages que déléguer peut vous apporter. Vous découvrirez ensuite les bons conseils à suivre pour passer la main sereinement.

Les avantages de la délégation de tâches

Déléguer son pouvoir ou simplement déléguer certaines tâches dans une équipe permettra à celui qui délègue de se focaliser pour mener à bien ses tâches prioritaires. Il peut s’agir d’une mission urgente ou d’un travail particulièrement important.

Déléguer les tâches diminue votre charge de travail, mais c’est aussi un choix stratégique qui permet de responsabiliser les collaborateurs. Des membres d’équipe qui ne se sentent pas particulièrement impliqués dans la mission peuvent perdre en motivation et en efficacité. Vous ferez donc grandir votre équipe en donnant à ses membres une opportunité de briller.

Le fait de déléguer va aussi motiver et encourager les collaborateurs à faire mieux, voire à exceller, puisque se voir confier une tâche par un dirigeant est signe de confiance.

Enfin, déléguer des responsabilités vous permettra de lâcher prise et de consacrer plus de temps à vos proches et à vos loisirs. Vous pourriez aussi dégager un peu de temps pour mener à bien votre projet de monter une boîte en vous aidant des conseils sur le site finance preneur. Dans tous les cas, ne plus avoir la tête dans le guidon vous permettra aussi d’être plus efficace.

Prendre du recul pour analyser vos tâches

Dans la pratique, ça signifie que vous devez identifier les tâches que vous effectuez pour votre travail. Il s’agit aussi de déterminer si certaines tâches peuvent être abandonnées (parce qu’inutiles), et s’il est possible de déléguer la responsabilité d’une ou de plusieurs missions. Il vous faudra aussi faire le point sur l’urgence de la réalisation d’un travail donné. Ensuite, demandez-vous si quelqu’un est apte à mener à bien la mission que vous souhaitez déléguer.

Trouver la bonne personne

Etre un bon manager, c’est être capable de déléguer. Mais pour que le travail soit bien fait, il faudra faire un choix avisé et choisir le bon profil. Il peut s’agir d’un collaborateur, comme d’un freelance par exemple. Le fait qu’une personne soit moins occupée, soit moins chère ou se dévoue, ce n’est pas assez. Il faudra impérativement que ce soit une personne compétente ET motivée.

Mais en plus de ces qualités, il faudra que la relation entre les deux parties soit basée sur la confiance. Cela se traduit notamment par le fait de lui donner une certaine autonomie dans ses actions et les moyens nécessaires pour bien faire son travail.

Mettre en place la procédure

Pour ne pas vous retrouver avec un travail bâclé, une documentation détaillée des procédures nécessaires sera incontournable. En plus d’être détaillée, vous devrez vous assurer que la personne qui va entreprendre une tâche déléguée la comprenne et y ait accès facilement.

La fixation d’objectifs devra aussi faire partie de cette procédure. N’hésitez pas à planifier des moments où vous ferez le point sur l’avancée du projet. Enfin, n’oubliez pas de poser les échéances. Des tableaux de bord vous seront particulièrement utiles.

Ceci dit, il n’y a pas nécessairement besoin de toute une documentation pour mettre au point la procédure d’une délégation donnée. Dans certains cas, des consignes claires peuvent suffire.

Dès lors que tout cela est mis en place, le chef d’entreprise ou le manager pourra déléguer sereinement l’exécution d’une ou de plusieurs missions.

Pour chiner, plus besoin d’arpenter les rues en espérant tomber sur une brocante ou un vide-grenier. Ces dernières années, on voit de plus en plus apparaître sur Internet des sites de brocantes en ligne pour vous permettre de faire des affaires derrière votre écran. En quelques clics, il est possible d’acheter ou vendre tous types d’articles. Mais comment être sûr de faire une bonne affaire ? Voici donc quelques conseils pour bien vendre et bien acheter avec les brocantes en ligne. (suite…)

Dominique Loreau est une auteure française née le 12 octobre 1959. Depuis la fin des années 70, elle vit au Japon et y a passé la majeure partie de son existence. La culture et le mode de vie japonais l’ont fortement inspiré et l’ont amené à sortir en 2005 son premier ouvrage intitulé L’Art de la simplicité. C’est grâce à celui-ci qu’elle a réussi à se faire connaître à travers le monde.

Malgré le fait qu’elle ait plusieurs écrits à son compte, elle ne s’est jamais considérée comme étant une écrivaine, mais plutôt une essayiste. En d’autres termes, une personne qui publie des essais littéraires portant sur des réflexions fondées sur des faits divers et restituées de manière subjective. Elle prend note des faits, en tire des leçons et synthétisent ces dernières à des fins d’enseignement (développement personnel surtout).

Dominique Loreau mène une vie minimaliste caractérisée par une simplicité matérielle et spirituelle. Ses activités ne se réduisent pas à la seule écriture, elle est également connue pour animer des séminaires pendant lesquels elle donne des conseils sur la manière de simplifier la vie. Son but est d’aider tous ceux qui sont emprisonnés dans le matérialisme, tous ceux qui vivent constamment dans le besoin parce qu’ils veulent avoir et non pas être.

Pour mieux comprendre la philosophie du personnage et apprendre à la connaître un peu plus profondément, procédons à un état des lieux de ses œuvres les plus célèbres.

L’Art de la Simplicité

Publié en 2005, L’Art de la Simplicité puise son essence dans le Bouddhisme zen. Il prône la nécessité de vivre une vie simple pour qu’elle soit plus substantielle. L’auteure dénonce en quelques sortes le matérialisme occidental qui se traduit par la consommation de masse.

Selon elle, une vie simple est une vie loin des préjugés et des contraintes qui stressent à longueur de journée. Le besoin d’avoir et les tentations font souffrir et éloignent la paix et la tranquillité. Quand on vit avec moins de possessions, on est plus capable de différencier l’essentiel de ce qui ne l’est pas (le superflu).

L’ouvrage comporte trois parties se déclinant comme suit :

• Première partie : le matérialisme et le minimalisme

Elle traite des impacts de l’excès de matérialisme sur la vie de tous les jours et de l’avantage d’adopter un comportement minimaliste. Elle synthétise le tout par une approche axée sur l’éthique et l’esthétisme.

• Deuxième partie : le corps

Elle aborde tout ce qui touche à l’image et au corps selon un point de vue minimaliste : les soins esthétiques, l’alimentation, le sommeil, etc.

• Troisième partie : le mental

Elle fait état des caractéristiques d’un esprit minimaliste : méditation, apprentissage, altruisme, discipline, etc.

L’Art des Listes

Paru en 2007, L’Art des Listes rend compte de l’importance des listes dans la vie quotidienne. A travers cet ouvrage, l’auteure démontrent que les listes constituent le moyen le plus accessible, le plus pratique, le plus efficace et le plus amusant de s’organiser. L’organisation étant la base de toutes activités.

Lister les choses permet d’aller directement à l’essentiel. En agissant ainsi, on gagne du temps que l’on va pouvoir, par la suite, consacrer à soi-même. On peut l’utiliser à des fins de clarification de l’esprit, d’affinement de goûts ou encore d’enrichissement de la vie intérieure. Plusieurs exemples y sont exposés pour que tout le monde puisse s’y identifier et apprendre l’art de « bien vivre ».

L’Art de l’Essentiel

L’Art de l’Essentiel est sorti en 2008. Il fait partie des manuels les plus connus dans l’art du désencombrement. Son but est de faire comprendre aux lecteurs l’intérêt de se séparer de ses possessions matérielles pour vivre une vie plus libre et plus saine. Il explique également le fait que le désencombrement ne peut être fait que par soi-même, car personne ne nous connaît mieux que nous-mêmes. D’où l’importance de se connaître soi-même.

Les autres ouvrages de Dominique Loreau

Les livres qu’on a cités ci-dessus ne sont que les plus connus, l’auteure en a écrit bien d’autres :

• 2009 : L’art de la frugalité et de la volupté, Éditions Robert Laffont ;
• 2010 : Mon kakebo 2011 japonais, agenda de comptes pour tenir sereinement son budget, Éditions Flammarion ;
• 2011 : Faire le ménage chez soi, faire le ménage en soi, Éditions Marabout ;
• 2011 : 99 objets nécessaires et suffisants, Éditions Flammarion ;
• 2011 : Mon kakebo 2012, agenda de comptes pour tenir sereinement son budget, Éditions Flammarion ;
• 2011 : Aimer la pluie, aimer la vie, Éditions J’ai Lu ;
• 2012 : L’infiniment peu, Éditions J’ai Lu ;
• 2018 : L’Eloge de la légèreté, jeter l’inutile pour vivre plus libre, Editions Flammarion.

 

S’il y a bien un endroit tout sauf minimaliste dans la maison, c’est bien la garde-robe. C’est vrai, nous achetons facilement et bien trop souvent des vêtements. Et pas seulement parce que nous avons peur d’en manquer.

La société nous pousse à en acheter tout le temps en nous faisant croire que ceux que nous avons déjà sont obsolètes et ont fait leur temps depuis des lustres ; en nous convaincant qu’il faut absolument une nouvelle tenue à chaque occasion, à chaque évènement auquel on assiste ; qu’il est indispensable d’avoir une vingtaine de t-shirts et une trentaine de jeans lorsque les motifs sont différents, etc. Voilà qui explique pourquoi, malgré une armoire remplie à ras bord, nous avons toujours l’impression que nous n’avons rien à nous mettre !

Résultat : les chiffres sont ahurissants. Selon les statistiques, les ménages français dépenseraient plus de 39 milliards d’euros en vêtement. Et pourtant, 85% des articles achetés sont jetés, à raison de 12 kg de vêtements par an par Français.

Vous voulez arrêter ce gaspillage ? Découvrez quelques conseils pratiques pour transformer votre armoire en garde-robe minimaliste.

Les étapes à suivre pour désencombrer votre garde-robe

Vous pouvez désencombrer votre armoire et la transformer en garde-robe minimaliste en deux temps trois mouvements.

Etape 1 : Faites le tri

Tout commence toujours par le tri. Sortez tous vos vêtements de votre armoire et débarrassez-vous dans un premier temps de ceux que vous n’aimez pas. Il y en a certainement beaucoup. Ce sont ceux que vous avez achetés sur un coup de tête et que vous avez regretté tout de suite après. Ça devrait donc être facile.

Cette chose faite, mettez aussi de côté ceux que vous aviez acheté pour une occasion spéciale (robe de fiançailles, robe de demoiselle d’honneur, votre costume de pirate d’il y a deux ans, etc.). Ces vêtements, vous les aimez bien. Mais si vous vous posez cette question : « est-ce que j’ai envie de les remettre un jour ? » et que la réponse est « non », alors, vous n’avez pas besoin de les garder.

Et pour finir, mettez de côté les vêtements que vous aimez bien, que vous aimeriez garder, mais que vous n’aviez  jamais utilisé. Si vous ne l’aviez jamais mis, c’est qu’il y a bien une raison. Si vous aviez oublié qu’elle était encore dans votre garde-robe, c’est qu’il n’était pas si beau que ça. Eux aussi, vous devez vous en débarrasser.

Etape 2 : Fixez-vous une limite

Une fois que vous aurez éliminé les vêtements que vous n’aimiez pas vraiment, il est temps maintenant de vous débarrasser de ceux dont vous n’avez pas besoin. C’est un peu plus compliqué, voilà pourquoi, non seulement vous devez vous poser cette question : « Est-ce que j’en ai vraiment besoin ? » mais en plus, pour ne pas être tenté d’en garder plus que nécessaire, vous devez vous fixer des limites.

Pensez à un nombre précis de vêtements que vous pourrez garder : 30, 40 ou 50 au grand maximum et essayez de vous en tenir. A vous de répartir ce nombre entre les t-shirts, les pantalons, les robes, les jupes, les chemises, les chemisiers, les chaussures et les sous-vêtements.

Etape 3 : Basez-vous sur vos besoins

Vous n’arrivez pas à choisir entre ce que vous voulez garder et ce que vous voulez jeter ? Prenez le temps d’identifier vos besoins. Quel genre d’image souhaitez-vous renvoyer ? Quel est le style qui vous correspond et qui correspond à votre personnalité ? Si vous êtes du genre décontracté, peut-être devriez-vous garder plus de t-shirts et de jeans que de chemises et de pantalons. Si vous êtes du genre rock, pourquoi ne pas privilégier les cuirs et enlever les blouses roses.

Vous n’avez qu’un seul mot d’ordre : Adaptez votre garde-robe en fonction de votre goût et de qui vous êtes.

Que faire des vêtements dont vous n’avez plus besoin ?

Ne le jetez surtout pas ! Beaucoup de gens en ont certainement plus besoin que vous. Donnez-les plutôt à des associations ou à des organismes caritatifs. Non seulement, vous ferez des heureux, mais en plus, vous contribuerez à protéger l’environnement. Car le saviez-vous ? La production de vêtement produit à elle seule  1.2 milliards de tonnes de  CO2 en une année.

En plus de glaner quelques conseils ici et là, et d’échanger avec une communauté ayant les mêmes centres d’intérêt, l’une des manières incontournables pour s’initier au minimalisme est de lire des livres sur le sujet. Et bien qu’il n’en parle pas directement et qu’il n’ait pas été rédigé dans ce sens, le livre « La Slow Life En Pleine Conscience » s’avère être une lecture excellente pour mieux comprendre l’esprit minimaliste.

Vous débutez dans le minimalisme ? Vous souhaitez découvrir cette nouvelle mode de pensée et de vivre ? Vous voulez  mieux la comprendre ? Lisez ce livre…

Qui est Cindy Chapelle ?

Cindy Chapelle est une sophrologue française particulièrement connue. Diplômée de l’Ecole Française de Sophrologie de Montpellier, elle exerce depuis une dizaine d’années à ce jour, à Toulon, dans le Var.

Cindy Chapelle s’est fait connaître pour son goût pour la vie simple et pour ses expertises sur la gestion du stress. Elle a animé plusieurs ateliers et a publié plusieurs livres à ce sujet, dont notamment « La Sophrologie pour les Nuls », « 7 jours pour être zen », « Un rituel zen par jour » et bien sûr, « La Slow Life En Pleine Conscience ».

Pour ralentir et trouver son rythme idéal…

Dans un monde dominé par le stress et la pression du temps, on oublie facilement ce qui est vraiment essentiel dans notre vie. On est tellement concentré sur nos préoccupations présentes – qui souvent sont vaines – qu’on en oublie jusqu’au but qu’on s’était fixé, les objectifs qui nous ont, au départ, mené sur ce chemin-là. Il arrive même, et bien souvent, qu’on ne sache plus où l’on va et pourquoi. On se contente de vivre, de faire ce que l’on croit qu’on attend de nous, sans vraiment nous soucier de savoir si c’est vraiment ce que l’on veut.

Dans  son ouvrage intitulé « La Slow Life En Pleine Conscience », Cindy Chapelle nous invite à ralentir, à nous arrêter un moment pour reprendre notre souffle et pour faire le point. A travers son livre, l’auteur nous invite à l’introspection et à nous demander si là où on se retrouve aujourd’hui, c’est bien ce que l’on souhaitait. Et ce, aussi bien sur le plan personnel que professionnel.

Un nouvel art de vivre…

Bien plus que des conseils, le livre « La Slow Life En Pleine Conscience » enseigne un nouvel art de vivre  qui – on doit se l’avouer – est très proche du minimalisme.

Comme son résumé l’explique clairement, ce chef-d’œuvre incite à « Profiter de l’instant présent, redéfinir ses priorités personnelles et professionnelles, porter un regard neuf sur le monde, tendre vers plus de simplicité, écouter son corps, apprendre à se connaître, gérer son stress… », et ce, dans  l’ultime but de « retrouver le chemin vers soi ».

Comment ? En plus d’un partage d’expérience, dans son livre, Cindy Chapelle propose plusieurs exercices, plusieurs disciplines qui pourront nous aider grandement dans notre quête. On y trouve des exercices de médiations, de respiration et de réflexion.

Amino, en avez-vous déjà entendu parler ? Lancée vers la fin de l’année 2016, cette application ne cesse de faire parler d’elle dans la communauté minimaliste.

Vous le savez sans doute déjà, adopter le minimalisme n’est pas chose facile. Car il ne s’agit pas uniquement d’une mode de vie. Etre minimaliste, c’est avant tout un mode de pensée, des principes et des valeurs qui ne se basent pas sur ce qu’on a, mais sur ce que qu’on peut faire avec ce que l’on a. Ceux qui sont passés par là savent à quel point c’est difficile de faire ses premiers pas dans le minimalisme, surtout lorsqu’on est seul.

C’est pour cela que l’application Amino a été créée.

Un véritable réseau social pour les minimalistes

Amino est une application qui réunit toute une communauté de minimaliste dans le monde entier. Elle a été conçue dans le but de rassembler des personnes ayant le même centre d’intérêt et de leur offrir une plateforme où ils pourront échanger entre eux, partager leur expérience, demander ou donner des conseils, témoigner, etc.

Pour cela, l’application met à la disposition de ces utilisateurs tout un attirail d’outils : des salons de discussion, des chats, des blogs, des sondages, etc.

Amino est idéale pour débuter dans le minimalisme. Vous y trouverez de nombreux conseils sur la meilleure manière d’entamer et de réussir un processus de désencombrement.

Ce qu’on peut faire avec l’application Amino

L’application propose des fonctionnalités variées favorisant le partage et l’échange entre les membres.

Des salons et des groupes de discussion à thèmes

Une fois inscrit sur l’application, vous avez la possibilité de rejoindre plusieurs salons et de groupes de discussions suivant le thème que vous souhaitez, et qui vous correspond. Vous y aurez la possibilité de partager sur des sujets communs, mais aussi de lire des articles relatifs au sujet qui vous intéresse.

Vous y trouverez des conversations de groupe auxquelles vous pouvez participer ou non, ce n’est pas obligatoire. Mais vous pouvez suivre les échanges et retirer des conseils géniaux.

Si aucun salon ne vous convient, ou si vous pensez qu’il en manque, vous avez également la possibilité de créer votre propre communauté personnalisée, avec votre propre thème, votre propre logo, etc.

Des profils pour faire des publications avec photos à l’appui

Sur Amino, vous avez un profil à votre disposition que vous pourrez personnaliser selon vos goûts. Sur ce profil, comme sur tout réseau social, vous avez la possibilité de faire de publier ce que vous voulez rapidement et simplement.

Bien sûr, vous pouvez ajouter des photos à votre publication. Et c’est d’ailleurs ce qui fait la particularité de cette application. Sur la plateforme, vous pouvez publier plusieurs photos en une seule fois !

Vous pouvez, bien entendu, voir également les publications des autres, ce qui est génial. Car vous pourrez regarder des photos postées par des minimalistes du monde entier.

Des rencontres sans limite !

Et bien sûr, Amino vous offre la possibilité de faire de belles rencontres, avec des minimalistes passionnés, qui vous comprend et qui partage les mêmes valeurs, les mêmes principales, la même manière de penser que vous.

Vous aurez la possibilité d’échanger avec eux, de communiquer avec eux, de partager leur expérience, etc.

 

Dans l’ancienne époque, les gens vivaient avec beaucoup plus de simplicité. Ils allaient directement à l’essentiel, ils travaillaient pour pouvoir se nourrir, se loger et s’habiller. Il n’y avait pas tous ces objets superflus et divertissants sans lesquels nous ne pouvons pas vivre aujourd’hui : télévision, téléphone, ordinateur, etc. Ils n’avaient pas besoin de s’encombrer de choses matérielles (vêtement, chaussures, technologie, etc.) pour être heureux. Leur vie se résumait à la survie, au partage, à l’expérience et à des divertissements simples et très peu coûteuses.

Avec l’arrivée du capitalisme, cette ère-là a été révolue et a été remplacée par la consommation de masse. Celle-ci a été facilitée par l’industrialisation, la mondialisation et la libéralisation. Le strict nécessaire a commencé à ne plus suffire. Riches ou pauvres, il en fallait toujours plus pour être heureux. Un phénomène qui est arrivé à une telle ampleur qu’on a fini par se demander si on devait travailler pour vivre ou vivre pour travailler. Et ce, parce que sans travail, on ne peut pas satisfaire tous nos caprices.

Même si de nos jours cela n’a pas complètement changé, il y a tout de même eu une prise de conscience. Un mouvement a été créé et, actuellement, il commence peu à peu à se répandre partout dans le monde : le minimalisme. Qu’est-ce que c’est ? En quoi cela consiste ? Quelle est sa finalité ? Comment le devenir ?

Le minimalisme et ses enjeux

Le minimalisme est un mode de vie. Son principe est basé sur une philosophie selon laquelle il faut vivre avec moins de choses matérielles pour bien vivre. Cela peut être assez difficile à comprendre, mais le concept en soi est très clair. Il faut réapprendre à ne vivre qu’avec ce qui est vraiment indispensable. En d’autres termes, il faut réduire la consommation, éviter le superflu et apprendre à faire le tri entre besoin, envie et caprice.

L’enjeu du minimalisme est double. D’une part, il contribue de manière considérable à la préservation de l’environnement. Une baisse de la consommation va se traduire en une diminution de la production qui réduira, à son tour, les besoins énergétiques et l’émission de gaz à effet de serre. L’atmosphère sera donc plus assainie, et la terre, sauvée.

D’autre part, il aide à mener une vie plus simple et plus saine. Les choses matérielles ne doivent en aucun cas constituer une finalité. Si vous leur attacher trop d’importance, vous aller vivre dans le stress et la peur constante du sentiment se manque ou de ne jamais en avoir assez. En devenant minimaliste, vous apprenez à apprécier les éléments plus substantiels : la nature, la famille, les amis, etc.

Les meilleurs livres sur le minimalisme

Si vous désirez adhérer à la communauté minimaliste et êtes prêts à changer vos habitudes pour ce faire, il n’y a rien de mieux que d’apprendre par vous-même. Aussi, pour vous aider à avancer dans votre quête, ci-dessous une sélection des ouvrages les plus reconnus et les plus appréciés dans le domaine.

Livre n°1 : L’art de l’essentiel – Dominique Loreau

L’art de l’essentiel vous incite à hiérarchiser vos besoins et à revoir vos priorités pour mieux vous libérer de tout ce qui vous encombre. Il agit comme une thérapie en vous apprenant à ÊTRE et non pas à AVOIR.

Livre n°2 : L’art de la simplicité – Dominique Loreau

L’art de la simplicité constitue la base même du minimalisme. Il vous explique qu’être minimaliste ne se limite pas seulement au vidage de votre placard ou de votre garde-robe. Il faut également apprendre à vous libérer de vos tâches quotidiennes et consacrer plus de temps pour vous-même.

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Livre n°3 : L’art d’aller à l’essentiel – Léo Babauta

Comme son nom l’indique, l’art d’aller à l’essentiel vous incite à aller directement à l’essentiel dans l’accomplissement de vos objectifs pour mieux progresser et mieux s’épanouir. Il vous guide sur les habitudes que vous devez adopter et la manière avec laquelle vous pourriez vous organiser.

L’écrivain possède son propre site internet « Zen Habits ». Il y raconte la manière avec laquelle il est arrivé à changer de mode de vie. Cela pourrait vous aider à trouver votre chemin.

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Livre n°4 : Le bonheur est dans le peu – Francine Jay

Le bonheur est le peu porte sur un coaching de 21 jours réparti sur 21 chapitres. Il vous apprend à vous séparer de tout ce qui encombre votre esprit et vos placards. Il vous suggère des tests afin que vous puissiez faire le point sur vos habitudes. Il vous recommande ensuite des exercices pour vous faire évoluer. Et enfin, il vous demande de faire un bilan sur ce que vous avez acquis.

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Livre n°5 : J’arrête le superflu – Joanne Tatham

J’arrête le superflu vous renseigne sur l’état d’esprit à avoir pour être minimaliste et plus aller dans le sens de l’ÊTRE et non pas de l’AVOIR. On le reconnaît à sa méthode STREAMLINE :

• Se réinventer
• Trier
• connaître la Raison d’être de chaque objet
• Etablir une place pour chaque objet
• Assainir toutes les surfaces
• créer des Modules
• se fixer des Limites
• I pour le principe « quand un objet entre, un autre doit sortir »
• Nettoyer
• Entretenir

L’auteure est le propriétaire du blog « Américan Miss Minimalist ». N’hésitez pas à faire un tour dessus.

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La cuisine est l’une des pièces dans laquelle nous passons énormément de temps. C’est également la pièce qui regorge le plus d’ustensiles dans la maison. On n’y compte pas moins d’une centaine de matériels et d’équipements, de la plus petite cuillère au réfrigérateur. Et malheureusement, une grande partie d’entre eux ne sont pas forcément indispensables.

Pensez-y ! Il y a dans cette pièce des objets que vous n’avez jamais utilisés, d’autres que vous n’aviez utilisés qu’une ou deux fois avant d’être complètement oublié au fond d’un tiroir, et d’autres encore dont vous ignoriez même l’existence.

Avez-vous vraiment utilisé toutes les ustensiles dans votre cuisine ? Sont-ils tous indispensables à la cuisson de vos repas et pour que vous puissiez manger normalement ? Votre cuisine a besoin d’être désencombrée ? Découvrez 3 objets particulièrement encombrants dont vous pourriez vous passer dans une cuisine minimaliste.

Une cuisine minimaliste, c’est quoi ?

Une cuisine minimaliste, suivant le principe du minimalisme, est une cuisine dépourvue de tout ce qui n’est pas nécessaire pour vraiment « cuisiner ». C’est avant tout une pièce où tous les objets présents sont réellement nécessaires pour la préparation de plats et pour la table, où tout est à sa place et a un rôle précis.

C’est aussi une cuisine débarrassée de tous les gadgets que l’on a achetés parce que la société et les publicités nous ont convaincus qu’on en avait besoin, mais qu’en réalité, on pouvait s’en passer.

Les objets pas forcément indispensables dans la cuisine…

Par où commencer ? Comment les déterminer ? C’est facile ! Au moment où vous désencombrez votre cuisine, posez-vous cette question : « Est-ce que j’ai vraiment besoin de ça pour cuisiner ? ». Si la réponse est non, vous savez ce que vous devez faire.

Les tasses à thé et les verres

L’avez-vous remarqué ? Curieusement, les tasses et les verres occupent une grande partie des placards dans la cuisine. Nous avons toujours tendance à en acheter plus par peur d’en manquer, mais aussi, parce qu’au moment où nous étions dans le centre commercial, elles étaient en promotion. Dès fois, on les achète même tout simplement parce qu’on aimait bien la couleur.

Le seul hic, c’est qu’on ne les utilise même pas. C’est vrai, lorsque vous buvez votre thé le matin, vous utilisez autant dire toujours la même tasse n’est-ce pas ? Personne n’utilise une tasse différente tous les matins. En conséquence, si vous en avez plusieurs, débarrassez-vous-en. Ne gardez que l’essentiel, c’est-à-dire : ceux que vous utilisez à la maison (1 par personne) ; et quelques-uns que  vous  prévoirez pour les invités.

Si vous n’arrivez pas à déterminer le nombre de tasse à garder pour les invités, gardez tout simplement le double de ce dont vous avez besoin. Si vous êtes 4 à la maison, gardez-en 8. Comme ça, vous pourrez aussi les utiliser quand vous sortez.

La bouilloire

Vous vous dites sans doute « la bouilloire est indispensable, on s’en sert pour faire chauffer de l’eau ». Bien sûr, mais vous avouerez que la casserole remplit tout aussi efficacement ce rôle. Et ce n’est pas comme si votre thé est meilleur lorsqu’il est chauffé avec une bouilloire n’est-ce pas ? En fait, vous obtenez exactement le même résultat. Sauf qu’avec une casserole, vous pouvez aussi chauffer votre potage, votre lait… Et on ne pas en dire autant de la bouilloire.

Vous voulez désencombrer votre cuisine minimaliste ? La bouilloire n’y a pas forcément sa place.

Le four à micro-ondes

Eh oui ! A bien y penser, à quoi sert vraiment un four à micro-ondes ? A cuisiner ? Pas vraiment, car cet appareil n’est pas conçu pour cela et pour cuire un plat avec, il faut toute une technicité et avoir des ustensiles spécifiques supplémentaires. Ce qui n’est pas l’idéal si vous voulez avoir une cuisine minimaliste.

A chauffer ? Oui, mais une marmite, une casserole, une poêle, une fois posée sur le feu peut faire la même chose. A tuer les bactéries ? Il semblerait que non ! Des études récentes ont démontré que le chauffage à la micro-onde ne tuait pas les bactéries. Voilà pourquoi, il n’est plus recommandé de chauffer les biberons de bébé dedans. D’autres études ont également démontré que cuire au four à micro-ondes est déconseillé, car les ondes détruisaient tous les nutriments présents dans le plat.

Vous l’aurez compris, cet imposant appareil est à bannir absolument !

Voilà 3 éléments dont vous pourriez vous débarrasser pour bien commencer votre désencombrement dans la cuisine. Ne vous arrêtez pas en si bon chemin, continuer de faire le tri, et vous verrez, il y en a encore plein d’autres !

Vendre sur Le Bon Coin n’est pas bien compliqué. Mais avec plus de 25 millions de petites annonces actives, la vôtre risque de passer inaperçu si vous ne faites pas attention. Comment y remédier ? Comment vendre rapidement et facilement sur Le Bon Coin ? Voici quelques astuces.

Une belle annonce

Vous voulez vendre rapidement sur Le Bon Coin ? La première chose que vous devez faire est de faire en sorte que votre annonce se démarque. Comment ? Grâce à un descriptif détaillé et des visuels soignés.

Pour vendre sur Le Bon Coin rapidement, misez sur la description !

C’est barbant et beaucoup de vendeurs pensent qu’il s’agit d’une pure perte de temps, malheureusement à tort. Vous devez comprendre que les gens ne vont pas investir dans quelque chose s’ils n’ont pas un minimum d’informations dessus.

Si vous vendez un ordinateur portable par exemple, si vous vous contentez d’une petite description qui dit « Ordinateur portable Acer – 17 pouces – Bon état », vous aurez moins de chances de vendre qu’une personne qui va donner des détails sur le processeur, l’autonomie de la batterie, le système d’exploitation, la mémoire vive, le disque dur, le type d’écran et sa résolution, etc.

Le secret est donc là : prenez le temps de rédiger une annonce étoffée. Vous en profiterez pour mettre les atouts de votre produit en avant.

Pour vendre sur Le Bon Coin facilement, ne négligez pas les photos !

Les photos ont une importance capitale, car elles permettent de donner un caractère « concret » à la description que vous aviez donnée. En d’autres termes, elles permettent aux lecteurs d’avoir une idée précise de l’objet que vous vendez.

Prenez donc le temps de prendre de belles photos. Ne vous contentez pas d’un seul cliché, car cela laisse souvent les potentiels acheteurs frustrés. Présentez au moins 3 photos qui représentent votre produit dans des angles différentes.

N’hésitez pas à bien nettoyer votre produit et à le retaper un peu si nécessaire avant de prendre les photos. Il est impératif qu’il fasse bonne impression dès le premier regard.

Les informations qui peuvent changer la donne…

Une fois que vous aurez pris les photos et rédigé une description en béton, maintenant il faut penser stratégie. Vous gagnez déjà de très bons points avec le visuel, mais si vous voulez vraiment vendre rapidement et facilement, vous devez également jouer sur d’autres niveaux, à savoir la localisation et le prix.

La bonne localisation

Vous aurez tendance à mettre votre adresse exacte sur l’annonce. C’est ce que ferait un vendeur encore novice. Ceux qui ont de l’expérience dans le domaine vont procéder autrement.

Comment ? Si vous mettez votre adresse exacte, votre annonce sera diffusée dans une zone géographique extrêmement limitée. Résultat : si vos voisins n’ont pas besoin de votre objet, vous ne réussirez jamais à le vendre.

L’astuce, c’est de généraliser. Si vous habitez dans le 15^ème arrondissement de Paris, vous aurez moins de chance de vendre si vous mettez 75015. En revanche, si vous mettez 75000 tout simplement, c’est sûr que vous serez contacté par de nombreux acheteurs potentiels.

Le prix

En règle générale, on vend sur Le Bon Coin pour se débarrasser de quelque chose dont on ne veut. Et si ça peut nous rapporter de l’argent, c’est tant mieux. Rien ne vous empêche cependant de faire des bonnes affaires sur la plateforme, mais si votre objectif est de vendre rapidement, ne mettez pas la barre trop haute. Essayez de trouver un compromis en sachant que plus l’objet sera moins cher, plus vite vous le vendrez.

Le mieux c’est de proposer directement un prix fixe, celui qui vous semblera le plus juste et raisonnable, et d’annoncer clairement que c’est non négociable.

La réactivité, un point important…

Il n’y a rien de plus frustrant qu’un vendeur qui tarde à répondre et qui semble s’être volatilisé dans la nature. Ça refroidit vite les potentiels acheteurs qui, le temps que vous lui répondiez, il aura trouvé ce qu’il cherchait chez un autre vendeur plus réactif.

Soyez donc réactif. Surveillez vos emails si vous avez choisi qu’on vous réponde par email. Assurez-vous que la batterie de votre téléphone ne soit pas HS pour être sûr que vous recevrez bien les appels des personnes intéressées.

Les deux concepts ayant pour même valeur le fait de choisir « de vivre de manière plus simple », on tend souvent à confondre « Minimalisme » et « Simplicité volontaire ».

Et pourtant, on peut choisir de trouver le bonheur dans les choses les plus simples sans pour autant être minimaliste.

Le minimalisme est une alternative au rythme effréné de consommation. Il débute généralement par une décroissance progressive de cette tendance à la consommation chez les personnes concernées. La simplicité volontaire, pour sa part, est un mode de vie des personnes qui n’ont plus de problème de surconsommation, mais qui vivent déjà avec le minimum.

Qu’est-ce que la simplicité volontaire ?

La simplicité volontaire, tout comme son nom l’indique, est un choix radical de « vivre en toute simplicité ». C’est un mode de vie qui consiste à réduire la consommation de biens en vue de mettre en avant des valeurs essentielles telles que la famille, la communauté, l’environnement et/ou l’écologie.

C’est cet angle écologique qui diffère le minimalisme de la simplicité volontaire.

Le minimalisme a pour unique objectif d’aider une personne à se simplifier la vie et à se focaliser sur ses valeurs personnelles sans que ces dernières ne soient liées à l’écologie ou à l’environnement.

La simplicité volontaire englobe son entourage écologique dans ses valeurs, et encourage dans ce sens le recyclage et la limitation des déchets.

Les principes de la simplicité volontaire

La simplicité volontaire s’oppose à toutes formes d’addiction à la consommation. Elle suppose donc une vie balisée par plusieurs principes à respecter.

Le contrôle des pulsions d’achat

Plus d’achats compulsifs ! Vous apprenez à contrôler vos pulsions, et vous n’achetez plus par envie de remplir votre vie, mais par nécessité.

Le rejet des publicités

Afin de ne plus céder aux envies de consommation, vous devez vous débarrasser de tout ce qui vous incite à dépenser : les publicités. Non seulement ils séduisent votre regard, mais en s’adressant à votre inconscient – vont inexorablement vous conduire à acheter des choses dont vous n’avez même pas besoin. Soyez maître de vos décisions ! Ne laissez pas la télévision décider pour vous !

Fini les cadeaux en tout va !

L’avez-vous remarqué ? Les cadeaux nous donnent toujours de parfaites excuses pour acheter et acheter encore. La société de consommation dans laquelle vous vivez vous donnera toujours d’ailleurs des raisons pour le faire : anniversaire, mariage, baptême, Pâques, Noël, la Saint-Sylverstre, les fêtes de fin d’année, etc.

À l’encontre des idées reçues, offrir de gros et cher cadeau n’est pas la seule preuve d’amour qui existe. Au contraire, donner de son temps et partager des moments avec ceux que vous aimez sont des cadeaux qui ne finiront jamais sous les poussières du grenier.

Plus de temps libre

Qui dit grosses dépenses, dit forcément plus de temps à travailler pour produire plus d’argent. Avec la simplicité volontaire, vous diminuez vos besoins matériels, et naturellement vos dépenses. Vous pouvez donc en conséquence réduire le temps que vous passez à travailler. Vous aurez plus de temps à consacrer aux personnes qui vous sont chères, à faire des activités ludiques dans le respect de l’environnement.

Désencombrement et recyclage

Avez-vous remarqué chez vous ces objets qui trainent partout sans avoir vraiment une certaine utilité ? Avez-vous des meubles ou autres objets chez qui sont bien gardés au grenier depuis des années ? Dans votre maison, séparez-vous de tous les objets et meubles qui n’ont pas d’utilité.

Réparer ceux qui vous servent encore, louer ou donner ceux qui peuvent servir à d’autres.

Favoriser le contact humain

Tout le monde est aujourd’hui en contact grâce à Internet. Mais la communication virtuelle n’est pas et ne sera jamais de taille contre la solitude et le vide qu’on ressent quand on est seul. Rien ne vaut la chaleur d’un véritable échange physique.

Privilégiez la qualité de vos communications en construisant de vraies relations authentiques avec ceux qui vous entourent.

Préservez l’environnement

La simplicité volontaire connait l’impact de la surconsommation sur l’environnement.

Par la limitation des biens matériels, elle contribue au ralentissement de la destruction des ressources naturelles et à la réduction de l’impact de ce que nous appelons évolution sur l’écologie.

Dans ce sens, elle privilégie les petits commerces locaux ainsi que les fermes plutôt que les hypermarchés.